
Le département de Sociologie de l’Université d’Abomey-Calavi ( UAC) est secoué par une polémique suite à des accusations graves portées contre un enseignant.
Selon les rumeurs qui circulent depuis quelques jours, et les récentes publications du quotidien le » Chasseur Info » et « Alerte Bénin »( publié sur sa page Facebook), un professeur du département socio-anthropologie est accusé d’entretenir une relation inappropriée avec une de ses étudiantes. Cette relation aurait été découverte grâce à des messages compromettants retrouvés par les parents de la jeune fille dans son téléphone.
De plus, ce professeur suspect serait l’encadreur de mémoire de cette jeune étudiante en troisième année de licence dans le même département. C’est ce que nous pouvons comprendre d’après nos informations reçues des sources bien crédibles.
En outre, un des messages retrouvé dans le téléphone de l’étudiante disait : « Ma chérie, on se voit encore au même endroit. » Ce message aurait été adressé par le professeur suspecté, révélant ainsi la nature inappropriée de leur relation.
Face à ces révélations, les parents de l’étudiante ont décidé de prendre des mesures et réclament justice. Ils ont exprimé leur indignation et leur préoccupation quant à la sécurité et l’intégrité de leur fille.
L’université a été promptement mise au courant de la situation et une enquête interne est en cours pour faire la lumière sur ces accusations. Les autorités académiques et les instances disciplinaires de l’université sont appelées à examiner les faits et à prendre les mesures appropriées pour garantir la protection des étudiants et l’intégrité du corps enseignant.
Le professeur fautif serait déjà expressément déchargé de tous les encadrements de mémoire au moins pour ce qui est du premier cycle et du second cycle jusqu’à nouvel ordre après être écouté par des sources proches de l’Université, mentionne le » Chasseur Info » dans sa parution du 22 janvier 2025.
Cette affaire soulève des questions importantes sur les relations entre enseignants et étudiants, et met en lumière la nécessité d’un environnement académique sûr et respectueux. Les étudiants et les parents espèrent que justice sera rendue et que des mesures seront prises pour éviter de tels incidents à l’avenir.
Soulignons au passage que le rectorat de l’UAC et l’Institut National de la Femme ( INF) ont le dossier en main et continuent de mener les démarches nécessaires pour avoir gain de cause dans cette affaire répugnante.
Stanislas HOUNSOU