Chers amis de la presse,
C’est avec une profonde émotion que je prends la parole aujourd’hui pour rendre un hommage vibrant à Mohamed Zoulkaneri, une personnalité chère à nos cœurs. Alors que chaque décès est une perte, le départ de Mohamed représente une grande perte pour la presse béninoise, surtout à l’ère du numérique marquée par de grandes réformes en cours dans le monde de l’audiovisuel public au Bénin.
Mohamed était bien plus qu’un talentueux journaliste. Il était un pilier de notre station, Radio Parakou, un guide éclairé dans le domaine des médias et un fervent défenseur de la langue Dendi. Son dévouement et son professionnalisme ont laissé une empreinte indélébile dans nos existences, sa bienveillance résonne encore parmi nous.
En plus d’être un excellent journaliste, Mohamed était également un conseiller en communication de premier plan pour de nombreux leaders. Aujourd’hui, ces mêmes leaders, tous unanimement attristés par sa disparition, pleurent sa perte.
Son talent exceptionnel brillait à travers ses reportages et émissions radiophoniques, sa voix portant clarté et passion. Son engagement envers la langue Dendi et son souci de fournir une information de qualité étaient des exemples à suivre pour nous tous.
En ces moments de deuil, je présente mes condoléances les plus sincères à sa famille, à ses proches, ainsi qu’à vous, ses collègues de Radio Parakou, et à toute la communauté journalistique béninoise. Puissent la force et la solidarité qui nous caractérisent nous soutenir durant cette épreuve difficile.
Que les précieux souvenirs partagés avec Mohamed nous apportent réconfort et courage pour affronter cette douloureuse épreuve. Honorons ensemble son héritage en continuant à œuvrer pour l’excellence journalistique et le respect de nos langues et cultures béninoises.
Avec tout mon respect et ma sincère sympathie,
Rachidi GBADAMASSI
Député honoraire.
